Ouverture du dojo

Au réveil, j’entendis quelqu’un quitter la maison. Il y avait déjà un nouvel occupant dans cette petite maison. Je n’ai pas encore eu le temps de faire sa connaissance et cela m’importais peu. Tant qu’il ne me dérange pas tout vas bien, mon petit loup dormais à coté de moi, je lui fis une douce caresse avant de me lever. Une rumeur disait qu’un dojo allait ouvrir. Je voulais voir a quoi ressemblais ce fameux dojo, peut être je m’y inscrirais.
Je mis le bandage pour compresser ma poitrine, maintenant que quelqu’un vivais dans la même maison, je devrais surement la garder plus longtemps, je l’enlèverais seulement pour dormir. Je mis mon kimono et décide de rendre visite au nouveau dojo. Seul petit détail, ou se trouve-t-il ? En me penchant vers zéro je lui posai cette question, après tout il m’a amené ici pourquoi ne trouverais-t-il pas le chemin du dojo. Je poussai un léger soupir, comment pourrais t-il savoir, je lui fis une petite caresse sur la tête et chercha mon ruban pour m’attacher les cheveux.

Une fois prête, je pris le sabre de mon frère et sortie de la maison. Zero me suivait, je me promenais par delà les sentiers ne pensant à rien. Je pensais a ce qui pourrais occuper mes journée, pour l’instant je ne fait pas grand choses. Je ne savais pas vraiment ou j’allais, ni même ou je me trouvais lorsque je relevai la tête, je fus surprise de me retrouver face à une grande maison, les portes centrale coulissantes étaient ouverte et face a moi se dressais un homme aux cheveux rouge flamboyant, kimono et sabre a la ceinture. Je ne vois pas tellement ce qui m’étonnait vu que dans cette ville tout le monde était comme ça.

" tu comptes venir t'entraîner dans ce dojo? Si oui, je suis désolé mais tu vas devoir laisser ton loup dehors."

Je poussai alors un petit étonnement, He ? J’étais arrivé devant le dojo. Je regardai mon loup, Ce n’est pas possible qu’il y soit pour quelques choses. Je ne savais plus tellement quoi faire, j’étais tellement surprise.

« Oh ! Euh … Je suis arrivé ici sans m’en rendre compte alors je suis un peu étonné surtout que je voulais voir le dojo… Enfin voila… »

L’homme était imposant, et avais une certaine élégance. Pour le moment je restai dehors, je me sentais mal de laisser zero seul … Bon d’accord l’homme m’impressionnais beaucoup… Et alors ?

Il me repondit :

« Oh ! Euh … Je suis arrivé ici sans m’en rendre compte alors je suis un peu étonné surtout que je voulais voir le dojo… Enfin voila… »

Sa réponse me semblait timide . Peut être que je lui faisais peur... Je fit un effort pour être plus amicale mais je n'avais nullement l'habitude. Je regarda tout d'abord son loup il me semblait beaucoup s'être attaché à son propriétaire. Puis je regarda ce petit homme qui se tenait en face de moi. Il était vraiment fin et son sabre à sa ceinture était beaucoup trop lourd pour lui . De plus je ne voyais aucun autre potentiel élève arrivé . Il était sûrement le seul a venir aujourd’hui j'aurais du y pensé . La réputations d'un dojo est proportionnelle au nombre d élève. Or je n'avais pas une réputation reconnu et le dojo encore moins … Je me décidai de tout faire pour pouvoir gardé futur l'élève que j'avais devant moi. Et même devoir faire un effort . Mais pas question de lui donné des M&M's ! Je voulais voir s'il savait ce battre avec ce sabre bien trop lourd pour sa carrure. Mais avant tout je devais m'occupé de son loup. J'ai donc pensé que si je le mettait en securité dans la cours peut être qu'il voudra venir s'entrainer.

«  si tu veux il y a une jardin à l’arrière pour y mettre ton loup il y sera en sécurité et de la même occasion je te fait visité mon dojo. Apparemment c'est ce que tu voulais non? »

Il me proposa de rentrer visiter, et m’autorisa à laisser Zero dans l’arrière cours. Je souris, son attention était vraiment très plaisante. Je retirai mes chaussure, salua l’homme en m’inclinant avec respect et me dirigea vers l’arrière cours. Je gardai Zero dans mes bras jusqu'à ce que j’arrive a destination pour ne pas salir, abimer le parquet puis surtout par respect pour l’attention de l’homme. Une fois arrivé dans l’arrière cours de déposa le louveteau qui resta sagement en place. Je m’accroupie face a lui et approcha mon visage de lui.

« Reste bien sagement ici d’accord. »

Je lui fis une caresse sur le haut de la tête, il me fit un petit coup de langue sur la joue. Je souris alors doucement, un petit rire s’échappa discrètement. Je me relevai et retrouva mon visage neutre. Je me retournai vers le dojo et remercia l’homme en m’inclinant. Il avait toujours autant de prestance et était toujours imposant. Mais cela lui donnais un charme mystérieux, quelqu’un d’inapprochable. En y réfléchissant, il était seul ici… Il n’était pas difficile d’en conclure qu’il était le maître de ce dojo. Et sachant que celui-ci venais d’ouvrir, pas étonnant qu’il n’y a encore aucuns élèves.

« Vous êtes le maître de ce dojo c’est bien cela ? Et vous n’avez pas encore d’élèves ? C’est bien dommage, ce dojo est tellement beau. »

Je rentrai à l’intérieur de nouveau, regardant autour de moi, les murs et même le plafond. J’aimais beaucoup l’architecture. C’est un dojo très accueillant et on s’y sent bien. Je ferma les yeux, il dégage une bonne énergie.

il accepta mon offre se qui me soulagea. Il pris son louveteau et le porta jusqu'à l'arrière cours ils étaient vraiment très complice ces deux la. Je me demanda comment est-il devenu ami. Mais cela m'importer peu maintenant. Tout ce qui compté c’était de garder cet élèves. Une fois qu'elle fini de
parlez a son loup elle s'approcha de moi et s'inclina surement pour me remercie je lui rendu donc son salut. Puis elle me dit:

« Vous êtes le maître de ce dojo c’est bien cela ? Et vous n’avez pas encore d’élèves ? C’est bien dommage, ce dojo est tellement beau. »

Puis il regarda tout autour de lui et ferma les yeux comme pour sentir la présence du dojo.
Cela me fit rigolé. A vrai dire moi même je n'avais pas fait attention a architecture ni même au décoration du dojo j avais juste regardé ce que j avais a ma disposition pour entrainer. C'est a dire pas grand chose.

« Effectivement c'est bien moi le maître du dojo. Et non je n'ai pas encore d'élève sauf si bien sur tu veux devenir le premier. »

En forçant un sourire . Je n avais vraiment pas habitude de faire paraître des sentiments on m'avais appris à ne pas les exprimés. Puis je repris

« Malheureusement c est pas la beauté du dojo qui fait venir les élèves seul l'enseignement que on procure dans ces lieu attire les personnes »

Qu'elle ironie mon maître était le plus reconnu de son époque mais lui n'avais accepté que une seul élève et moi qui ouvrit un dojo pourtant avec son savoir faire personne ne venais. Peut être que ma technique de sabre était en quelque sort maudite … Enfin maudite a n'avoir a jamais que un seul élèves. Mais tampis tant qu'il y a une personne qui la maitrise cette technique ne mourra pas.Mais une question me resta en tête...

« Dit moi je peux te posé une question ? »

Il était effectivement le maitre du dojo, et il n’avait pas encore d’inscrit, ce qui est normal puisqu’il vient d’ouvrir. Il me proposa de devenir le premier membre, et afficha un léger sourire. Mais il y avait quelque chose qui n’allais pas avec son sourire… Qu’est ce que ça pouvait bien être … Ah ! Je crois que ça ne va pas avec son visage… Oui ce sourire était forcé, il ne devait pas avoir l’habitude de sourire apparemment. Ce qui me fit sourire a mon tour, cela lui donnais un petit coté mignon, très appréciable. Pour en revenir à son offre cela était difficile de refuser. Puis je pense qu’il valait mieux que je continue de m’exercer avant de perdre en rapidité. Oui car je n’ai pas vraiment de force, après tout je suis une femme et j’ai commencé tard… Mais heureusement pour moi je me rattrape en agilité et en rapidité. Il continua en ajoutant que la beauté du dojo ne faisait pas forcément venir les personnes, c’était plutôt l’enseignement… Je pense aussi cela mais je pense aussi que la beauté du domaine a son importance. Enfin c’est un détail.

« Dit moi je peux te posé une question ? »

Je fus surprise, que pouvait-il vouloir me demander ? Il n’avait quand même pas vu que j’étais une femme ? Non impossible ! Alors quoi ? D’ailleurs je n’ai pas encore répondu… Je préfère attendre le bon moment pour décider si je viendrais m’entrainer au dojo ou pas. Je ne veux pas dire oui pour ne plus revenir au bout de quelques mois. Sachant que je dois garder mon apparence d’homme aussi… Enfin ceci étant. Que pouvait-il bien me demander !!!

« Euh, oui bien sur laquelle ? »

Je fixait le jeune homme au loup un petit moment. Ma question de question avait du le surprendre. Il ne répondit pas tout suite d'ailleurs, son visage se crispat légèrement, il était comme anxieux. Puis il se reprit assez vite . Après avoir réfléchit il me dit:
« Euh, oui bien sur laquelle ? »

M'enfin, je le voyais mal refuser, il ne savais pas ce que 'allais et voulais demander. Je lui posa donc ma question sur un ton sympathique, sans pour autant être amical ou encore inquisiteur:
" Pourquoi portes tu un sabre si lourd? Ce sabre est pas fait pour ta carrure ... Il doit te ralentir et surement te faire mal au poignet à force de le manier... "

La réponse qui me semblait la plus évidente c'est qu'il l'avait hérité de son père car ils n'avait que un sabre . Normalement tout samouraï à deux sabre un court pour défendre sa famille et un long pour défendre l'empereur ou son "embaucheur". Lui en avait qu'un surement parce que sa famille était morte ... Je ne connaissait pas la réponse exacte, mais si jamais j'avais vraiment envie de savoir, je n'avais qu'a lui poser la question. Mais plus tard. Ce n'est pas mon objectif de l'interroger sur sa vie. Aujourd'hui, j'avais seulement l'envie de donner un court sur les sabres. C'est mon " boulot" si je puis dire. Sans être payé en argent, comme dans les villes normales, je gagnais ici une reconnaissance que je n'avais jamais eu autre part. Une certaine satisfaction d'un travail reconnu à sa juste valeur.